Welcome to Japan

Comme vous l’avez compris, on a quitté le Vietnam. Enfin juste pour quelques temps car depuis la publication de cet article on y est revenu. Faut croire que y a quelques choses qui nous a manqué … Donc on est parti, on a fait une escale en Chine. Si si Souvenez-vous ! Même que l’on a failli raté notre avion. Si vous avez loupé un épisode aller voir l’article une escale à Taipei. bref nous voila au Japon. Plus précisemment à Tokyo.

En commençant le voyage, j’ai eu un copain, Yves, qui m’a proposé de nous héberger à Tokyo si nous avions envi de passer. Puisque je révais d’y aller depuis plusieurs année, c’était l’occasion à saisir. On réserve les billets d’avion, on book les hôtels, on achète le Japan Rail Pass et puis c’est parti. Après 3 mois au Vietnam, le changement est appréciable. On quitte un pays en voie de développement pour arriver dans le pays d’Asie le plus High-Tech. On aime quand ça contraste !

Et ça commence comme souvent dès l’aéroport. Je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois, tu sens la différence quand tu sors de l’avion. On récupère les bagages et après avoir le précieux coup de tampon sur le passeport pour entrer dans le pays, on arrive aux douanes qui nous demande de vérifier un de nos bagages. Le bonhomme a l’air un peu surpris que l’on soit resté aussi longtemps au Vietnam. Mais avec beaucoup de courtoisie, il contrôle notre plus gros sac, plutôt par principe. Il nous laisse rapidement partir à la vue de notre air décontracté. C’est bon Welcome to Japan !

Maintenant faut que nous rejoignons le domicile de Yves. Il est au nord est de Tokyo, soit de l’autre côté de la ville et il commence à se faire tard, il est 21h30. L’aéroport de Narita se trouve assez loin de Tokyo. Il faut presque 1h30 pour rejoindre le centre-ville. Après avoir demandé plus d’informations au guichet des navettes par bus, il s’avère plus intéressant de prendre le train. On descend à la gare et c’est parti pour acheter les tickets. Enfin c’est vite dit. Au choix, distributeur automatique ou guichet. En regardant les distributeurs, on ne comprend pas grand chose. Le japonais s’écrit dans deux alphabets sylabiques totalement différents de l’alphabet que nous utilisons. Pas facile de comprendre ce langage plein de trait. Bref on va au guichet et c’est pas beaucoup mieux. Les japonais ne parlent quasiment pas anglais. On arrive quand même à se débrouiller en lui montrant notre destination sur une carte. Vite le train est dans 5 minutes, mais ce n’est pas évident de courir avec nos 60 kg de bagages.

On attend sur le quai. L’express n’est toujours pas là. Il commence à faire froid. On avoisine les 0° ici, ça nous fait un peu bizarre. Il faut faire la queue dans des couloirs marqués au sol. Et personne ne déroge à la règle. Ainsi la montée et descente du train est fluide. Résultat les trains ne s’arrêtent pas longtemps et le traffic est sans encombre.

Le JR Narita Express (NEX) arrive, et comme le quai de la gare, il a l’air neuf. Et pourtant il a déjà 20 ans. Tout est impeccable, pas une rayure, aucun grafiti, personne ne jette de détritu par terre. Ca change de notre légendaire RER B. Le train est quasiment vide, un contrôleur passe toute les 15 minutes pour vérifier les titres de transports de chaque nouveau passager. Il nous faudra une bonne heure pour rejoindre la ligne de métro qui nous emmènera dans le quartier de Yves. Et 30 minutes plus tard, Yves nous attend à la sortie de la station de métro. Il est minuit et on va enfin pouvoir commencer l’apéro !

Fiche d’identité du Japon

Où est le Japon ?